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Résidences

À l'atheneum, l'équipe accompagne les associations étudiantes et soutient les jeunes compagnies d'artistes !
Comment ? En mettant à disposition des moyens techniques et humains. Grâce à nos espaces, notre savoir-faire et nos réseaux nous proposons à de jeunes amateurs, professionnels ou en voie de professionnalisation, de travailler dans nos murs pour élaborer ou améliorer leur création.
Ces temps de résidence permettent également l'élaboration d'actions culturelles à destination des collégiens, lycéens, étudiants et tout public !

Résidences 2022-2023

La cie Ex Novo est une compagnie de danse contemporaine créée en 2018 par Antoine Arbeit

Du 22/08 au 2/09
Et du 24 au 27/10
 La Cie travaille sur sa nouvelle création Variability – a process of rythmic ceremony, qui s'envisage commeune cérémonie ludique, un clin d'oeil à nos petits rituels quotidiens, à nos habitudes, au jeu permanent que l'on entretient vis-à-vis d'autrui.

A découvrir à l'atheneum, le jeudi 27 octobre à 20h | Réservez vos places

Pour en savoir plus sur la cie : https://www.cie-exnovo.com/

Yaïr Barelli est né à Jérusalem en 1981, il vit et travaille à Paris. Formé au CDC de Toulouse puis dans le cadre du programme Essais du CNDC d’Angers sous la direction d’Emmanuelle Huynh, il développe une pratique chorégraphique transversale qui interroge la matérialité du théâtre. Son travail se construit en situation, dans la rencontre avec le public, créant de fait une expérience singulière à chaque occurrence. Ses travaux ont notamment été présentés à Actoral Marseille, Musée de la danse Rennes, Next Valenciennes, MC2 Grenoble, Artdanthé Vanves, La Galerie Noisy-le-sec, FIAC Paris, Power Station of Art Shanghai, Bétonsalon, la Villa Vassilieff et le musée Picasso à Paris.

Du 5 au 8/12

Yaïr Barelli pousse la porte de l'atheneum pour reprendre sa création You must die John

« You must Die John est un titre qui fait un clin d’œil à la ville de Dijon, où je les ai rencontrés en tant qu’artiste compagnon du CDCN Le Dancing Dijon
Bourgogne – Franche-Comté. C’est également le
constat qu’en chacun de nous, il y a un certain « john », un « vieil homme » qui doit mourir pour permettre une ouverture vers un nouvel espace. Partir de chez soi, fuir un traumatisme, s’exiler : ces multiples actions sont difficilement percevables en tant que mouvements chorégraphiques car elles sont concrètes, nécessaires. C’est la rudesse de ces situations qui me donne envie de transformer cette urgence existentielle en un spectacle de danse – événement qui se trouve à priori à l’opposé. »

A découvrir à l'atheneum, le jeudi 8 décembre  à 20h | Réservez vos places

Pour en savoir plus sur le chorégraphe : https://www.yairbarelli.com/

La compagnie Nahlo a été fondée en février 2021 à Mâcon. Portée par le chorégraphe Lohan Jacquet, il présente Sensible en 2021 au festival Danse à Milly. Puisant dans le texte d’Yves Klein « La mythologie
20 personnelle de la monochromie » qu’il projetait de développer en ballet, Lohan explore une danse hypnotique et organique pour laisser entrevoir l’unité des rapports humains. Le chorégraphe revendique, par une danse énergique, son souhait de plonger le public dans une dramaturgie poétique et le fédérer en rendant ses créations adaptables à différents lieux : musées, médiathèques, tiers lieux culturels, jardins collectifs… ainsi qu’en proposant des ateliers en lien avec son travail.
La création Île figure par la danse une fiction sur l’environnement et l’épuisement des ressources de la planète. Une « roue de l’infortune » entraîne une micro-société représentée par 4 interprètes à se livrer à une forme de tragédie. Elle impose aux habitants la destruction de leur île, les précipitant ainsi dans un espace de désolation – rappelant l’effondrement de l’île de Pâques, dont le déboisement excessif, en rendant ses terres incultivables, a précipité la famine et la fin de sa société. Guidés par cette force immorale, la pièce s’inspire du Big Brother de 1984 de George Orwell. D’abord impuissants, les artistes sont amenés dans un état de fatigue et de transe dont ils peinent à se détacher. Par leur force de résilience et l’unité qu’ils retrouvent, ils expérimentent petit à petit un nouveau rapport commun à l’espace, aux autres et à eux même : un espace harmonieux et solidaire.

La compagnie est accueillie en résidence sur plusieurs temps et sera marraine du festival Danse à l’université. Lohan Jacquet animera 4 sessions d’ateliers de création intitulés We Move et la restitution sera présentée à l’occasion du festival Danse à l’université.

Les gagnants de Novosonic 2022 seront accompagnés du 19 au 22 juin 2023 au plateau pour un travail d’enregistrement de leur premier album.

Depuis 2017, Maxime Contrepois a entamé un travail de résidence à long terme à l’atheneum. Dans l’idée de développer des projets d’actions artistiques avec les étudiants tout au long de l’année, nous invitons ce jeune metteur en scène à investir notre lieu.

Il a été en résidence d’écriture et de création début 2022 avec la suite de la création de son nouveau spectacle « Nu gît le coeur dans l’obscurité » et revient en 2023 pour finaliser la création.
Maxime Contrepois – Metteur en scène
Né en 1988, il suit des études en philosophie, cinéma et théâtre (il est spécialiste du théâtre de Matthias Langhoff) et est assistant à la mise en scène auprès d'Irène Bonnaud (2008), Jacques Nichet (2009), Benoît Lambert (2010-2011), Matthias Langhoff (2013), Marcial Di Fonzo Bo (2014 et 2015) et Jean-François Sivadier (2016). Il s'occupe pendant 16 mois, entre septembre 2011 et décembre 2012, des écritures et de la dramaturgie pour le secrétariat général de la Comédie de Reims.
Parallèlement à son activité d'assistanat il fabrique ses propres objets et, la maquette de sa première création, Erwin Motor, Dévotion, de Magali Mougel, est présentée dans le festival « Péril Jeune », à Confluences (Paris – novembre 2014) puis à La Loge (Paris – avril 2016). En 2016, dans le cadre de l'Aide au compagnonnage du Ministère de la Culture et de la Communication (DGCA) qu'il obtient avec Jean-François Sivadier, Maxime Contrepois initie son deuxième spectacle, Anticorps d'après Dina de Magali Mougel.
Il a monté « Après la fin » de Dennis Kelly en 2019 dont la première a eu lieu à l’atheneum.
Le Beau Danger – la compagnie
La compagnie Le Beau Danger est implantée à Dijon, depuis sa création en 2012. Maxime Contrepois porte un travail proche du cinéma où le frottement du texte et des images scéniques raconte quelque chose des sociétés dans lesquelles nous vivons.

Immersion Nomade est un collectif de production, d’accompagnement d’artistes et d’organisation d’événements pluridisciplinaires basé en Bourgogne-Franche-Comté (58) qui existe depuis 2014. Le collectif accompagne le projet depuis sa genèse. Suite au Festival Allonzy organisé en juillet 2018 où Anne et Raphaël ont été invités pour une résidence de reprise du spectacle et deux dates, le Mamma Collectif a ensuite intégré le programme d'accompagnement Ricochet(s) dès août dernier.
Immersion Nomade apporte depuis un soutien en production et diffusion au projet de et propose une collaboration artistique à l'occasion de laboratoires et résidences.
Le collectif sera accueilli à l’atheneum en juin 2023 pour leur prochaine création.

Toute jeune compagnie de Saône-et-Loire, le collectif LA SAPPHIRINA créé en 2021 par Chloé André et David Scattolin et implantée à Dracy-Lès-Couches en Saône-et-Loire, est accueilli en résidence pour la création de leur pièce « Les orphelins », tiré d’un texte de DENNIS KENNY (Après la fin, Utopia). La première du spectacle sera programmée en février 2023

Le Sapphirina est un minuscule animal qui fait partie du plancton. Il est libre, dans l'immensité marine. Le Sapphirina a un secret. Il peut disparaître aux yeux des hommes. A tout moment. Habiter l'invisible devient possible. Dans un univers où le visible prétend tout contenir, où l'être est réduit à l'apparaître, Le Sapphirina appelle au silence dans l'oeil de celui qui regarde. Emporté par les courants saturés d'actualité, où l'expérience du présent est empêchée, Le Sapphirina appelle à l'attention de celui qui guette son apparition. A une époque où les peurs qui nous fréquentent édifient sur nous autant d'exosquelettes, où l'identité est une amarre, Le Sapphirina se dépouille et laisse voir de lui autant de couleurs qu'il existe d'angles par lesquels l'apercevoir. Parce qu'une âme isolée chancelle et coule dans les abysses, Les Sapphirina eux se regroupent à la surface de l'eau, couvrent la mer de diamants et ravivent le ciel. « Inspirés par les manières de ce petit crustacé, nous aimons les espaces vides qui ont la délicatesse de laisser le public les remplir de son imaginaire. Nous aspirons à un théâtre qui soit dangereux et dans une grande proximité avec les spectateurs. Nous aimons le théâtre contemporain et classique, les romans et la poésie. Nous rêvons de rencontrer différents publics, où qu'ils soient. »

Collectif d’artistes performeurs en résidence du 22 au 28 septembre sur le campus de Dijon.
Création « in situ » dans le cadre des 40 ans de l’atheneum avec la participation de la communauté universitaire (étudiants, personnels, associations, enseignants…). Une programmation des étudiants en Master 1 de l’Institut Denis-Diderot.

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